Jean-Marc

CALVET

Jean-Marc Calvet est un artiste peintre contemporain originaire de la ville de Nice, qui expose aujourd’hui à travers le monde. Avec à son actif plus d’une quinzaine de solo show aux état -Unis depuis 2005, il est aujourd’hui présent dans les collections permanentes de différents musées et fondations outre Atlantique. Du Flint Muséum du Michigan jusqu’au Museum of Arts & design Miami Florida  mais aussi à La fondation Rozas Bottran au Guatemala ou encore à La fondation Ortiz Gurdian au Nicaragua où il fut d’ailleurs l’un des Lauréat de la Biennale

A travers sa peinture, Jean-Marc CALVET nous transporte dans son univers aux personnages, mi dieu, mi démon aux yeux écarquillés, aux bouches ouvertes qui semblent crier, puis interpellent et font réagir chacun.

Entre l’Urban Art, la Figuration libre et le Néo-expressionnisme, inspiré sans nul doute de la culture Latino-américaine où il vécut près de vingt ans, les peintures de l’artiste contemporain captent l’attention du visiteur, puis attirent l’œil dans les méandres de la toile ; on les découvre, de loin tout d’abord, par une forme, puis, en se rapprochant, une multitude d’histoires entremêlées, la vie… .

A travers sa peinture, Jean-Marc CALVET nous transporte dans son univers aux personnages, mi dieu, mi démon aux yeux écarquillés, aux bouches ouvertes qui semblent crier, puis interpellent et font réagir chacun.

Entre l’Urban Art, la Figuration libre et le Néo-expressionnisme, inspiré sans nul doute de la culture Latino-américaine où il vécut près de vingt ans, les peintures de l’artiste contemporain captent l’attention du visiteur, puis attirent l’œil dans les méandres de la toile ; on les découvre, de loin tout d’abord, par une forme, puis, en se rapprochant, une multitude d’histoires entremêlées, la vie…

Il peint avec ses tripes, avec son cœur et nous raconte les histoires de sa vie d’aventurier, un récit dans lequel chacun y découvre un peu de soi, un fragment de sa propre histoire, avec plaisir, surprise, parfois avec stupeur, toujours avec beaucoup d’émotion.

Jean-Marc Calvet peint comme il respire. Pour lui, la peinture c’est la vie ! Un hymne qu’il décline sur chacune de ses toiles remplies à foison de figures parfois drôles, d’autrefois grimaçantes ou hurlant. Influencé par l’iconographie et les couleurs de l’Amérique latine où il a longtemps vécu, l’artiste travaille désormais entre Lorgues et Les Issambres dans le sud de la France.

Jean-Marc Calvet découvre la peinture par hasard, à 38 ans, au cœur d’une profonde dépression qui aurait dû lui couter la vie. Son passé douloureux, torturé le poursuit et remonte de plus en plus fort à la surface…l’image qu’il renvoi est alors aux antipodes de son âme… un décalage devenu insupportable qui le pousse à s’enfermer dans sa maison pour y mourir. C’est alors que dans une dernière rage, un ultime souffle, il se jette sur les murs pour en finir…et, contre toute attente c’est là que tout commence…

Ce qu’il crache alors, des hurlements aux sons insupportables, bruts , et sans aucune retenue. Il ne peint pas, il vomit sa haine, son chagrin son incompréhension du monde et du personnage qu’il s’est créé et dans la peau duquel il ne se supporte plus… un cri salvateur qui le soulage et l’entraine peu à peu vers un retour à vie…

Ainsi, sa demeure devient une gigantesque toile, les murs se remplissent peu à peu de splatch fait de peinture usagée, s’entaillent et se colorent de ses poings, de ses pieds, de sa tête,  se noircissent des meubles qu’il brule pour en faire des pinceaux. 

Et Peu à peu cette thérapie inattendue devient son art, un langage qu’il comprend et le soulage. Tel un exorcisme, la peinture devient une drogue à la puissance salvatrice. Il ne cherche pas à peindre, il doit peindre…

Au fil du temps, il apprend et déchiffre son propre alphabet.

Naïf, Touffus, entremêlés, il délie peu à peu ses propres hiéroglyphes, en sort un par un les démons. Ils deviennent des représentations divines, créant ainsi ses icones aux formes maitrisées qu’il dompte et avec lesquelles il joue aujourd’hui.

Jean-Marc

CALVET

Jean-Marc Calvet est un artiste peintre contemporain originaire de la ville de Nice, qui expose aujourd’hui à travers le monde. Avec à son actif plus d’une quinzaine de solo show aux état -Unis depuis 2005, il est aujourd’hui présent dans les collections permanentes de différents musées et fondations outre Atlantique. Du Flint Muséum du Michigan jusqu’au Museum of Arts & design Miami Florida  mais aussi à La fondation Rozas Bottran au Guatemala ou encore à La fondation Ortiz Gurdian au Nicaragua où il fut d’ailleurs l’un des Lauréat de la Biennale.

Un parcours atypique qui inspire : un film documentaire fut réalisé sur sa vie « CALVET » et primé dans différents festivals internationaux. Des évènements médiatiques à travers le monde avec notamment une exhibition avec Bob Sinclair à Nikki Beach Miami.

Mais Jean-Marc Calvet est avant tout un artiste engagé, au passé tourmenté, psychologue à cœur ouvert, il participe en 2017 à un programme de sensibilisation auprès des jeunes délinquants Maori dans les prisons de Nouvelles Zélande. Généreux et impliqué, particulièrement sensible à toutes les problématiques de l’enfance, il participe chaque année à la vente aux enchères au profit du Téléthon organisée par Drouot , et diverses oeuvres caritatives en France et à travers le monde.

Installé entre Lorgues et les Issambres depuis son retour en France il y a 3 ans, Jean-Marc Calvet ne compte plus les expositions : 

Au centre d’art la Menuiserie, à la Riviera Galerie, à l’entrepôt avec l’artiste Ben, puis à Bordeaux et Béziers au Festival l’Art déboite, à Cavalaire en compagnie de Charlelie Couture et Claude Guénard, puis au Pavillon Vendôme à PARIS/CLICHY. Malgré la crise sanitaire, il exposait à Sisteron puis à l’Hôtel de L’industrie au coeur de Saint Germain des Près/PARIS.  

Il était récemment à l’honneur lors de Festival Vent d’Est dans la banlieue de STRASBOURG, puis à nouveau dans le sud à l’occasion du Festival Youg Nice Artist situé à l’AC Hôtel by Mariott. 

Un début d’année hyper actif avec un solo show à MONACO/BEAUSOLEIL, à suivre  le NEGESCO, Nice Art…l’Art Nocturne Cannes, un Solo Show de plusieurs semaines à Fréjus dans l’emblématique Villa Aurélienne …en Septembre La Baule, en octobre St Tropez…

A travers sa peinture, Jean-Marc CALVET nous transporte dans son univers aux personnages, mi dieu, mi démon aux yeux écarquillés, aux bouches ouvertes qui semblent crier, puis interpellent et font réagir chacun. 

Entre l’Urban Art, la Figuration libre et le Néo-expressionnisme, inspiré sans nul doute de la culture Latino-américaine où il vécut près de vingt ans, les peintures de l’artiste contemporain captent l’attention du visiteur, puis attirent l’œil dans les méandres de la toile ; on les découvre, de loin tout d’abord, par une forme, puis, en se rapprochant, une multitude d’histoires entremêlées, la vie… 

Il peint avec ses tripes, avec son cœur et nous raconte les histoires de sa vie d’aventurier, un récit dans lequel chacun y découvre un peu de soi, un fragment de sa propre histoire, avec plaisir, surprise, parfois avec stupeur, toujours avec beaucoup d’émotion. 

Jean-Marc Calvet peint comme il respire. Pour lui, la peinture c’est la vie ! Un hymne qu’il décline sur chacune de ses toiles remplies à foison de figures parfois drôles, d’autrefois grimaçantes ou hurlant. Influencé par l’iconographie et les couleurs de l’Amérique latine où il a longtemps vécu, l’artiste travaille désormais entre Lorgues et Les Issambres dans le sud de la France. 

Jean-Marc Calvet découvre la peinture par hasard, à 38 ans, au cœur d’une profonde dépression qui aurait dû lui couter la vie. Son passé douloureux, torturé le poursuit et remonte de plus en plus fort à la surface…l’image qu’il renvoi est alors aux antipodes de son âme… un décalage devenu insupportable qui le pousse à s’enfermer dans sa maison pour y mourir. C’est alors que dans une dernière rage, un ultime souffle, il se jette sur les murs pour en finir…et, contre toute attente c’est là que tout commence…

Ce qu’il crache alors, des hurlements aux sons insupportables, bruts , et sans aucune retenue. Il ne peint pas, il vomit sa haine, son chagrin son incompréhension du monde et du personnage qu’il s’est créé et dans la peau duquel il ne se supporte plus… un cri salvateur qui le soulage et l’entraine peu à peu vers un retour à vie…

Ainsi, sa demeure devient une gigantesque toile, les murs se remplissent peu à peu de splatch fait de peinture usagée, s’entaillent et se colorent de ses poings, de ses pieds, de sa tête,  se noircissent des meubles qu’il brule pour en faire des pinceaux.  

Et Peu à peu cette thérapie inattendue devient son art, un langage qu’il comprend et le soulage. Tel un exorcisme, la peinture devient une drogue à la puissance salvatrice. Il ne cherche pas à peindre, il doit peindre…

Au fil du temps, il apprend et déchiffre son propre alphabet. 

Naïf, Touffus, entremêlés, il délie peu à peu ses propres hiéroglyphes, en sort un par un les démons. Ils deviennent des représentations divines, créant ainsi ses icones aux formes maitrisées qu’il dompte et avec lesquelles il joue aujourd’hui.